Les bronzes de Zina-O à Pontrieux

Des sculptures en porcelaine, en grès, en résine… Dans les Côtes-d'Armor

Zina-O à Pontrieux met à votre disposition un large choix de créations bronze, parfaites pour ajouter une touche de singularité à votre intérieur.

Chaque pièce est un support d'histoires et de contes, capturant la grâce et la beauté de la femme à travers des formes élégantes et des textures riches.

 L’exploration de la galerie ouvre sur l'univers intime et émouvant des sculptures en bronze, où chaque œuvre évoque des émotions profondes.

Mes bronzes 

L’échiquier

« L’échiquier » « Les fous »

Depuis le début, toujours sous-tendue par les mots, la sculpture est support d’histoires et de contes. « Le Maître de Musique - Maître de Ballet » et « L’Échiquier » virent le jour respectivement en 1993 et 1997.

 Ces deux sculptures sources, accompagnées de leur histoire ont au cours des années évolué et ont été un fil rouge pour la réflexion et la création.

La mythologie vient nourrir cela. Elle fut une source d’inspiration, d’évasion, de compréhension du monde doublée d’une interrogation sur le temps.
Belle porte d’entrée de l’expression de la philosophie pour Zina-O.

La Parque

« La Parque » « L’Inaccessible » « Stèle »

« Dédale », « Les Parques », « Icare », « Le Centaure » et « Neptune » vont émerger sous ses mains en terre et certaines sculptures seront métamorphosées en bronze, traduction de l’intemporel et de l’immortalité.

Le corps est suggéré parfois, juste par une ligne s’élevant dans l’espace.
Puis viendront les stèles, hommage à la pierre de Rosette dépositaire de trois langages.

La ligne des corps alors s’inscrira dans la feuille dressée. Ceux-ci s’effaceront peu à peu, disparaissant pour aborder une nouvelle étape. Le vide et le vêtement.

Maître de Ballet

« Maître de Musique – Maître de Ballet »

En 2005, le « Maître de Musique - Maître de Ballet » s’épure et devient juste la ligne symbolique d’un navire, ayant pour pont le cadran d’une boussole supportant la danse des personnages.

Ce sera la quatrième étude sur le thème. Période où ZINA-O ôte, épure, pour parvenir à l’essentiel. « L’océan contient la source. Comment matérialiser ce chemin, sans révéler l’ensemble, pour laisser à chacun la liberté de rêver » ?
Depuis 2005, Zina-O oscille entre grès, porcelaine, grillage, résines selon le volume de ses sculptures en intégrant toujours dans ses présentations contes et histoires.

Jardins d’Atlantide

« Jardins d’Atlantide »

Des terres de la naissance du jour et du monde, du pays du soleil levant, Zina-O passe à la recherche d’une mémoire ancestrale de l’écriture.

« Trace parmi les traces, la calligraphie dépose sur la feuille, les sons du temps, de l’être, de l’esprit et de l’âme. Figée en empreinte laissée, comme un pas sur le chemin vers l’éternité, elle laisse au regard de l’homme la possibilité de la découvrir sous un autre spectre ».

Trace, comment peux-tu devenir élévation de l’âme et de l’esprit ? « En descendant au centre du cœur de soi, en ce lieu où toute connaissance existe, où le divin trouve sa demeure ». La création trouve son chemin. Zina-O choisit d’élever dans l’espace les lettres hébraïques imprégnées chacune de sens et de symbolique, rendant hommage à tous ceux qui, avant elle, ont éclairé le chemin et lui permettent aujourd’hui d’avancer dans la lumière.

Au commencement ZINA-O formulait son questionnement ainsi : « Comment enraciner le divin dans la Matière » ?
Aujourd’hui elle souhaite « rendre grâce à l’Universel du Sacré ».

Contactez-moi pour plus de renseignements sur les bronzes et les céramiques disponibles dans ma galerie d’art.